Pour en finir avec le dopage

Si je m'intéresse tant au cyclisme féminin, c'est d'abord parce que j'aime le vélo, mais aussi parce que je pense que le milieu féminin est plus sain que celui des hommes. Mais je ne suis pas naïf. Des évènements récents montrent que certaines filles se dopent. Mais il y a beaucoup moins d'argent en jeu et l'envie de devenir maman en dissuade beaucoup.
Le cyclisme féminin doit être un exemple pour toute la famille du cyclisme si l'on veut que ce sport retrouve ses lettres de noblesse. L'entourage d'une coureuse compte beaucoup, car le recours au dopage est toujours tentant. Je pense malheureusement que le cyclisme professionnel et une partie du cyclisme amateur sont gangrenés par le dopage. J'aimerais croire le contraire. Je pense aussi que le dopage existera toujours même si des efforts sont faits pour lutter contre ce fléau. L'affaire Festina n'y a rien changé.