Certains cyclistes ont la grosse tête et ne daignent pas sourire lorsque nous les croisons. Peut être souffrent-ils trop pour pouvoir sourire ?
Cet été, en montant Hautacam dans les Pyrénées, j'ai pu remarquer que peu répondaient à mes bonjours. La plupart ont la tête dans le guidon ou grimacent. Où est le plaisir de pédaler ? Que voient-ils du paysage ?